Pensées, citations... Nous aimons la lecture, l'écriture et la réflexion. Sur ce blog, Clementia la poétesse, Théodora la rêveuse, Lorelei la passionnée de lecture, proposent au moins une pensée par jour à notre réflexion commune. Une citation, un sujet de débat, selon l'humeur du moment... Nous espérons avoir le plaisir de lire de nombreux commentaires de votre part. Merci d'avance !
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Parfois le guerrier de la lumière a l'impression de vivre deux vies en parallèle. Dans l'une, il est obligé de faire tout ce qu'il ne veut pas, de lutter pour des idées auxquelles il ne croit pas. Mais il existe une autre vie, et il la découvre dans ses rêves, ses lectures, ses rencontres avec des êtres qui pensent comme lui. Le guerrier permet à ses deux vies de se rapprocher. "Il y a un pont qui relie ce que je fais et ce que j'aimerais faire", pense-t-il. Peu à peu, ses rêves envahissent sa routine, jusqu'au moment où il se sent prêt pour ce qu'il a toujours désiré. Alors, il lui suffit d'un peu d'audace, et les deux vies ne font plus qu'une.
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Le critique ne raconte absolument rien : il ne fait que pointer un doigt accusateur au moment où le fort subit une chute, ou à l'heure où celui qui est en train de faire quelque chose commet une erreur. Le vrai crédit va à celui qui est dans l'arène, le visage sale de poussière, de sueur et de sang, et lutte courageusement. Le vrai crédit va à celui qui se trompe, qui échoue, mais qui petit à petit atteint son but, parce qu'il n'y a pas d'effort sans erreur. Celui-là connaît le grand enthousiasme, la grande dévotion, et il dépense son énergie dans quelque chose qui en vaut la peine. Voilà le vrai homme, qui dans la meilleure des hypothèses connaîtra la victoire et la conquête, et dans la pire des hypothèses tombera ; mais même dans sa chute il est grand, parce qu'il a vécu avec courage, et il a été au-dessus de ces âmes mesquines qui n'ont jamais connu de victoires ou de défaites.
(Theodore Roosevelt (1858 - 1919), Extrait de son Discours prononcé à la Sorbonne à Paris le 23 avril 1910)
NOTE : J'ai reçu cette citation dans la newsletter du 14/04/2010 de l'écrivain Paulo Coelho dont vous pouvez voir le blog ici : http://paulocoelhoblog.com/
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Les épreuves on en a tous les jours, tout au long de la vie, ça n'est jamais fini, car c'est à travers les épreuves, les doutes, les douleurs, qu'on apprend les leçons de la vie et qu'on a des chances de modifier notre caractère, d'évoluer, dans (normalement) le but de devenir meilleur. Ceux qui deviennent pires à la suite d'une épreuve rencontreront encore et toujours le même style d'épreuve jusqu'à ce qu'ils aient assimilé la leçon particulière que la vie devait leur apporter sur un trait de caractère ou une façon de réagir. Nous avons tous des leçons à assimiler, encore et toujours, car nous sommes loin de ressembler (par exemple) à Bouddha ou d'autres êtres exemplaires. Il arrive très souvent dans la vie que des gens nous blessent, que leur comportement nous étonne et nous fasse mal. Mais avant de nous complaire dans notre petite douleur égoïste, il est alors bon de nous interroger - par exemple - sur ce que nous aurions dû dire ou faire (ou bien ne pas dire, ne pas faire), sur ce que nous n'avions pas remarqué au sujet de nous-même ou de cette personne, bref que nous nous interrogions sur l'enchaînement de circonstances qui ont conduit à la situation qui nous fait souffrir. Et à ce moment-là, la leçon que la vie nous enseigne c'est qu'on a vraiment une part de responsabilité dans la situation triste dans laquelle on est, on a une grosse part de responsabilité sur le comportement de l'autre. A ce moment-là, si on a l'humilité de reconnaître que c'est parce que nous avons fait souffrir l'autre qu'ensuite il nous fait souffrir par ricochet, reconnaître que le "bug" vient de nous, et si on accepte de ne pas faire de reproche à la personne qui nous a blessé car c'est nous qui avons provoqué la situation, on a une chance d'évoluer pour essayer de ne plus faire souffrir autrui. Le hic dans (tous) les rapports humains, c'est qu'encore et toujours chacun ne pense en premier qu'à sa propre personne au lieu de penser à l'autre. Et c'est pour ça que dans le monde il y a tant de souffrances, tant de couples qui se déchirent, et tant de guerres.
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